J’ai appris que tu t’as rangé,
Que tu trouvais une fille qui te complète maintenant.
J’ai entendu que tes rêves se réalisaient,
Je suppose qu’elle te donnât tous les choses je ne pourrais pas.
Mon homme, pourquoi dois-tu se réfugier ?
Ce n’est pas d’habitude que tu te retenais évitant l’éclair.
Refrain (1)
Je déteste d’arriver à l’improviste, tout intrus,
Mais je ne peux pas rester là, je ne peux pas le lutter.
J’avais espéré que tu me voyais, reconnaitrais mon vissage,
Et te rappellerais que nous ne finîmes pas pour moi.
Refrain (2)
Oubliez-le ! Je trouverai un autre comme toi,
Je te souhaite rien mais le meilleur, malgré tous !
Souviens-moi, j’implore !
Je rappelle quoi tu dis ;
« Rarement, il le dure, l’amour,
Mais, sinon, quelquefois il te blesse »
Rarement, il le dure, l’amour,
Mais, sinon, quelquefois il te blesse.
Tu comprends comme le temps passe vite,
C’était seulement d’hier que nous nous amusions.
Nous grandîmes et développâmes dans une brume d’été,
Borné par la surprise de nos jours splendeurs.
Refrain (1 + 2)
Rien ne se compare,
Ni les soucis, ni les soins,
Les regrettes et les bourdes, ils sont les souvenirs dorénavant.
Comment peut-on anticiper cette expérience aigre-douce ?
Refrain (2) x2
Rarement, il le dure, l’amour,
Mais, sinon, quelquefois il te blesse.